Retour sur la troisième journée Jeunes chercheurs et chercheuses en histoire urbaine de la SFHU
Soucieuse de favoriser l’intégration des jeunes chercheurs et chercheuses à la communauté scientifique, la Société Française d’Histoire Urbaine a organisé le 1er avril 2022 une demi-journée en visio-conférence consacrée aux communications de doctorants et doctorantes en histoire urbaine. À cette occasion, huit d’entre eux ont pu proposer une étude de leur choix sur leurs travaux en cours.
Très variées d’un point de vue géographique, chronologique et thématique, ces communications d’une vingtaine de minutes ont donné lieu à des échanges animés par Héloïse Kiriakou, lauréate du prix de thèse de la SFHU 2020, et Amélie Marineau-Pelletier, lauréate du prix spécial du jury 2021
Pour garder une trace de ces travaux de qualité et dans l’attente de ces thèses, nous publions dans les prochains billets du site de la SFHU les résumés de ces communications qui examinent les pratiques des particuliers dans l’espace urbain, l’action des autorités politiques sur l’espace urbain et abordent des questions d’aménagement.
Organisation et édition par Virginie Mathé avec le soutien des membres du bureau.
Programme de la journée
Caitlin John, “Urban Burial Spaces in Late Medieval Cairo and Paris Compared”
Adrien Ferré, “Entre liesse et crainte : émotions et pratiques communautaires à Paris dans le Journal d’un bourgeois de Paris”
Iris Pupella-Nogues, “Les lieux de résistances à Trieste pendant le régime fasciste (1922-1943)”
Marina Bernardi, “Inscrire l’État dans le paysage urbain : le patrimoine romain face à la création d’une capitale”
Antonin Gay-Dupuy, “Maintenir pour mieux exclure : les bidonvilles de l’agglomération niçoise”
Thomas Schlesser, “Du plan au pavement, la transposition matérielle de la pensée réticulaire à Bruxelles dans la 1ère moitié du XIXe s”
Pierre Joffre, “Aménager le nord-ouest de la butte Montmartre. L’exemple de deux opérations d’aménagement privé au début du XXe siècle”